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«Trop de footballeuses blanches? En finir avec l’obsession racialiste»



Gilles-William Goldnadel est avocat et essayiste. Toutes les semaines, il décrypte l’actualité pour FigaroVox.


Ainsi, Le Monde, sous la plume de Stéphanie le Bars, aura considéré ce 7 juillet que l’équipe féminine américaine de football a péché contre les minorités en présentant une équipe majoritairement blanche!


On pourrait croire à un fake ou à une farce. On pourrait plaider la dérive du Monde ou la folie du monde. Y déceler de l’indigénisme ou de l’indigence. Nous y verrons en toute certitude le symptôme le plus caricatural de la maladie névrotique du temps médiatique.

Retour d’abord sur ce cas d’école de l’idéologie antiraciste dévoyée.

Tout d’abord, et dans les colonnes d’un journal d’un pays qui proscrit, paraît-il, les statistiques ethniques, un décompte d’apothicaire: «mais une image restera aussi collée à cette formation qui affronte les Pays-Bas en finale. Celle d’un groupe de jeunes femmes, majoritairement blanches, et donc partiellement représentatif d’un pays qui compte 18 % de Latinos, 12 % d’Afro-Américains et 5,6 % de personnes d’origine asiatique. Sur les 23 sélectionnées dans l’équipe américaine, cinq sont certes afro-américaines ou métisses, un chiffre qui, en proportion semble élevé mais qui n’apparaît guère sur le terrain, où, à l’exception notable de la défenseuse Crystal Dunn, l’écrasante majorité des titulaires régulières sont les joueuses blanches.». Le compte y est donc, mais ça ne vaut pas.


(...) Lire la suite sur FigaroVox

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