Le scandale habite moins dans le fait que les racistes antiblancs, antifrançais, antijuifs organisent à Paris des camps pour les non blancs que dans l'écœurante passivité de la presse et des organisations prétendument antiracistes à l'égard de cette situation. Depuis à présent des mois, des organisations racistes et antisémites comme le Parti des Indigènes de la République organisent impunément des camps racisés, « décoloniaux », et interdits virtuellement aux blancs. On y exalte la race dès l'instant où elle n'est pas blanche. Des organisations soi-disant progressistes comme l'UNEF tolèrent sans vergogne ces camps de la honte. Dans les facs en grève, les soi-disant étudiants organisent également des ateliers racisés. Cette semaine Rokhaya Diallo et Houria Bouteldja accompagnées d'une belle brochette d'islamistes radicaux appellent à un rassemblement de la même farine à la Bourse du travail de Saint-Denis. La première, cette semaine s’est plainte sans rire de ce que les sparadraps étaient de couleur blanche ce qui laisse à penser qu'elle pourrait souffrir de quelques problèmes médicaux. La seconde, infiniment plus dangereuse, est bien connue pour appeler les Français des « souchiens » et entretenir soigneusement la haine des juifs. Accessoirement, ce qui est assez remarquable, c'est cette alliance raciale et raciste entre des noirs extrémistes et des arabes islamistes radicaux à l'encontre des blancs occidentaux. Ces islamistes ont en effet réussi l'exploit idéologique de faire oublier que non seulement ils étaient blancs mais encore héritiers d'un esclavagisme des noirs d'Afrique qui perdure encore aujourd'hui. Faut-il que la haine de l'Occident soit sans bornes et que la sottise de ces militants noirs et racistes sans limites. Mais le vrai problème est d'ailleurs. Il réside dans le mutisme complet de tous les politiques, en ce compris de la droite. Il demeure dans le silence complice de la presse ordinairement donneuse de leçons de fraternité et d'égalité républicaines : le racisme anti -blanc est devenu la zone noire de l’information. Il s'inscrit dans l'inaction de ces organisations antiracistes de pacotille qui traquent névrotiquement la moindre peccadille lorsqu'il s'agit de mettre sur la sellette les occidentaux mais qui regardent leurs pieds lorsque ceux-ci sont victimes d'un racisme aussi incontestable qu'insupportable. Non seulement ce déni de justice est le symptôme en creux du mal profond dont souffre la société française, mais le pire est que ceux qui osent combattre le racisme anti blanc font l'objet d'un particulier ostracisme. Il est donc de toute première instance de combattre sans complexe, sans limite et sans concessions ce racisme anti blanc qui mine les fondations de l’état et de la nation française. La honte doit changer de camp, comme ils disent ...